Quelles stratégies efficaces mettriez-vous en place pour améliorer vos achats d'espaces publicitaires dans le domaine du web et du SEO ?
Bonjour 💻, Pour préciser ma question sur les stratégies d'amélioration des achats d'espaces publicitaires, je me demandais surtout comment vous abordez la question de l'optimisation du ROI, compte tenu de la complexité des algorithmes actuels. Est-ce que vous privilégiez des approches data-driven très poussées (modélisation prédictive, etc.) ou des méthodes plus "traditionnelles" mais peut-être plus transparentes ? Et comment vous intégrez l'impact des Core Web Vitals dans vos décisions ? 🤔
Commentaires (9)
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AlgoQueen, quand tu parles d'approches data-driven poussées, tu penses à quel genre de budget minimum pour que ça devienne rentable ? 🤔 Parce que bon, modélisation prédictive, c'est vite la douche froide si t'as pas les reins solides... Et pour les Core Web Vitals, t'as des exemples concrets d'impact significatif sur le ROI des campagnes ? 🚀
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AudaceMarketing, pour la data-driven, disons qu'en dessous de 10k\u20ac mensuels, faut vraiment bien cibler et avoir une expertise en interne, sinon c'est risqu\u00e9. Au-del\u00e0, on peut commencer \u00e0 envisager des outils plus sophistiqu\u00e9s. Pour les Core Web Vitals, l'impact est indirect mais r\u00e9el : un site lent ou qui bugue = moins de conversions, donc ROI en berne. C'est un cercle vicieux.
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Je suis assez d'accord avec AlgoQueen sur les montants. Sous 10k, faut pas rêver, à moins d'avoir un data scientist qui accepte de bosser pour des clopinettes. Et encore, faut avoir la matière première : des données propres et en quantité suffisante. Parce que balancer 10k dans un outil sans avoir les bases, c'est jeter l'argent par les fenêtres. Pour les Core Web Vitals, c'est le serpent qui se mord la queue, clairement. On peut balancer des sommes folles en acquisition, si le site derrière est une catastrophe, ça sert à rien. J'ai vu des boîtes investir des fortunes sur Google Ads, et se planter à cause d'un temps de chargement interminable. Le pire, c'est qu'ils s'en rendent pas compte tout de suite. Ils regardent le nombre de clics, se disent que c'est bien, mais oublient de regarder le taux de conversion. C'est là que le bât blesse. L'acheteur média doit être un peu technicien maintenant. Comprendre les enjeux du SEO, de l'UX, etc. C'est plus juste un type qui négocie des tarifs. On parle d'Amazon DSP, de programmatique... Faut savoir de quoi on parle et comprendre l'environnement pour que les campagnes fonctionnent et soient rentables.
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Complètement d'accord. L'acheteur média qui ne comprend rien à la technique, c'est un peu comme un mécano qui n'a jamais vu un moteur... Ça peut faire des étincelles, mais pas dans le bon sens. D'ailleurs, pour ceux qui veulent approfondir le sujet SEO/SEA, je suis tombé sur cette vidéo, qui vulgarise pas mal le truc
https://www.youtube.com/watch?v=CH0LBFZ_lqY[/video] . C'est pas la panacée, mais ça peut débroussailler le terrain. -
Pour compléter les propos de NeoCrypt, je pense qu'il faut aussi insister sur l'importance du tracking. Sans un suivi précis des conversions et de l'attribution, impossible de savoir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Mettez en place un système de tracking fiable (Google Analytics, Tag Manager, etc.) et analysez les données régulièrement. Ca permet d'ajuster les campagnes en temps réel et d'optimiser le ROI. C'est la base, mais beaucoup l'oublient !
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ForceVente8 a raison, le tracking c'est le nerf de la guerre ! Sans ça, c'est comme piloter à l'aveugle. Perso, j'utilise pas mal Google Tag Manager, c'est assez flexible et ça permet de traquer pas mal de choses sans avoir à trifouiller le code du site à chaque fois. Mais faut bien le paramétrer, sinon on se retrouve avec des données fausses et là, c'est la cata...
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GTM, c'est top, mais tellement facile de se planter dedans ! J'ai vu des configs avec des déclencheurs qui partent en sucette, des variables mal définies... Au final, des données complètement fausses. Faut vraiment prendre le temps de tester et vérifier, sinon c'est pire que sans tracking.
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Bon, alors, après avoir potassé vos conseils et passé des heures sur Google Tag Manager (oui, j'ai failli tout casser 😅), je crois qu'on a fait un grand pas. On a mis en place un tracking aux petits oignons, et là, les données parlent ! On a pu identifier les campagnes qui convertissent vraiment et celles qui bouffent du budget pour rien. Résultat : on a réalloué les ressources, et le ROI a fait un bond. Merci pour vos lumières ! ✨📈
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AlgoQueen, contente de voir que mes petits camarades et moi avons pu aider. C'est gratifiant de savoir que des conseils partagés ici ont eu un impact concret sur votre ROI. Mais attention, le tracking c'est bien, mais c'est pas non plus la solution miracle à tous les problèmes. Faut pas tomber dans l'excès inverse et devenir esclave des chiffres. C'est facile de se perdre dans les rapports et d'oublier le côté créatif et humain du marketing. C'est comme ces entreprises qui optimisent à outrance leur site web pour le SEO, au point de le rendre illisible et désagréable pour les visiteurs. Ou celles qui bombardent leurs clients de publicités personnalisées basées sur leur historique de navigation, au risque de les agacer et de les faire fuir. Faut trouver le juste milieu, quoi. Utiliser les données pour éclairer nos décisions, mais sans jamais perdre de vue l'objectif final : créer une expérience positive pour le client. Penser aux parcours d'achats, et ne pas se contenter de regarder les chiffres et d'optimiser que ce qui est simple à traquer. Par exemple, en tant que designer 3D pour le web, je vois souvent des sites avec des animations qui mettent des plombes à charger, même si le reste du site est nickel niveau Core Web Vitals. C'est joli, ça attire l'œil, mais si ça fait fuir les visiteurs, c'est contre-productif. Pour moi, la clé, c'est de toujours se remettre en question et de tester différentes approches. Ne pas hésiter à sortir des sentiers battus et à expérimenter de nouvelles choses, même si ça implique de prendre des risques. Et surtout, ne jamais oublier que derrière chaque chiffre, il y a un être humain. C'est pas parce que les données disent que telle campagne fonctionne bien qu'elle est forcément la meilleure option à long terme. Faut aussi prendre en compte l'image de marque, la fidélisation client, etc. Le SEO, c'est un peu comme une recette de cuisine. On peut suivre les instructions à la lettre, mais si on n'a pas le coup de main, le résultat sera décevant. Faut de la technique, mais aussi de la créativité et de l'intuition.
AlgoQueen
le 13 Avril 2025